Suite à la révolution Française et la décapitation du Roy, les vendéens s'opposent à la levé de 300 000 hommes, refusant d'offrir leurs enfants en holocauste sur l'hôtel de la république. Partout sur le territoire de la Vendée militaires, les paysans se regroupent et vont quérir les nobles pour les convaincre de la légitimité de leur combat. La révolte du peuple vendéen n'était pas seulement le refus de fournir des hommes à la république mais aussi une démarche politique profonde d'opposition à la révolution qui avait tué le Roy, massacré des innocents dont des nobles et des prêtres qui refusèrent de renier leur foi. Ainsi, plusieurs grande Généraux prirent place dans ce conflit presque manichéen, chaque général, noble ou non, ancien militaire ou simple roturier, était à la tête de divisions locales du territoire divisé. Bonchamps faisait partie de ces généraux. Après la bataille de Cholet du 17 octobre 1793, 24 000 républicains dirigé par Kléber (malgré tout honorable par sa mesure, sa dignité et son honneur) affrontent les généraux d'Elbée, Bonchamps, Stofflet et De la Rochejaquelin qui dirigent une armée de 40 000 vendéens. Bonchamps aux portes de sa morts, voyant ses soldats défait, animé par un sentiment d'impuissance et de haine face à leur ennemi fera un geste qui marquera la postérité. Les 5000 prisonniers républicains allaient être soulagé du poids de leur tête, c'est alors que Bonchamps, de son dernier souffle demanda "GRACE". Aucun prisonnier républicains ne mourut ce jour là. L'âme catholique à vaincu par ce geste la corruption des cœurs républicains, et, sans aucunes possibilité pour les républicains de cacher cette vérité, fit ce jour là triompher et pour tout jamais le Sacré Cœur de Jésus. Video source : https://www.youtube.com/watch?v=YsD8XwclLko